Je passe en ce moment quelques jours à San José. Je n'ai jamais été très attirée par les grandes villes, et celle-ci ne fait pas réellement exception.
San José est la capitale, et plus grande ville du pays. Elle reste toutefois facile à visiter à pied, car elle reste assez petite. Au total, San José et son agglomération totalisent 2 millions d'habitants environ, soit près d'un tiers de la population du pays... et un peu moins que la population de Lyon et son agglo.
J'avoue ne pas vraiment prendre de photos ici, je n'en ai pas ressenti le besoin depuis les 3 jours que je suis là. Nous nous sommes baladés en centre-ville, testé un restau pas terrible du tout, et visité le Teatro Nacional (qui fait office de Palais présidentiel en cas de visites officielles importantes). On y a appris pas mal de choses, comme par exemple qu'au Costa Rica il y a des séismes tous les jours, c'est simplement qu'on ne les ressent pas.
Oh, et il faut se méfier du soleil d'ici ! Il ne fait pas forcément très chaud, mais quand on a la peau d'une belge (soyons honnêtes)... Bref, le coup de soleil derrière le genou et les cuisses, c'est plutôt douloureux, et carrément pas pratique !
Demain je vais enfin récupérer une paire de lunettes de soleil à ma vue !
Rédigé à San José, le dimanche 28 février à 12h30
dimanche 28 février 2016
jeudi 25 février 2016
Manuel Antonio - mésaventures et Parc National
À Manuel Antonio, les animaux sont un peu partout : ils traversent la route, passent sur les câbles électriques, grimpent sur les toits et... dévalisent des frigos !
Deux canadiennes avaient mis des choses dans le frigo commun, et se sont plaintes de la disparition de leur chocolat. Nous avons appris un peu plus tard que le frigo avait été retrouvé ce matin là grand ouvert, avec de nombreuses choses au sol, et que ce ne serait pas un coup d'essai pour une bande de malfaisants... ratons-laveurs !
Pour ma part, lundi je me suis promenée un peu dans le village et le long de la plage, car le parc national ferme les lundis. En me baladant près du parc, je me suis arrêtée un instant à l'ombre. Comme il n'y avait personne aux alentours, j'ai pensé pouvoir poser sans craintes mon sac au sol et mes lunettes de soleil posées par dessus, pendant que je cherchais mes lunettes normales. C'était sans compter sur l'arrivée d'un petit voleur poilu, qui s'est emparé de mes lunettes avant que je m'en rende compte, et s'est enfui avec, à l'intérieur du parc fermé!
Mon coupable est un capucin. Ils sont connus pour être très malins et chapardeurs.
Bon... mieux vaut en rire qu'en pleurer, car même si ce sont des lunettes de vue -donc chères - je me dis qu'il y a au moins un singe fashion-victim dans ce parc !
J'ai rencontré ici une Argentine très sympa, Pamela, et nous sommes allées regarder le coucher de soleil sur la plage ensemble. Pamela est très douée de ses mains, et elle a tout un sac de petits bijoux - colliers et bracelets en tissus et métal - qu'elle a fabriqués elle-même pour tenter de les vendre sur la plage. Constatant qu'elle n'avait pas le profil d'une vendeuse ambulante, elle n'a essayé ça qu'une seule fois. Elle m'a offert un bracelet, qui est techniquement le premier "souvenir" physique que je garde de ce voyage :)
Enfin, mardi, j'ai pu aller au parc national. Comme la plupart des activités touristiques du pays, il y a le prix du résident et le prix du touriste. Un tico payera 1600 colones ( environ 3€) et l'étranger... 16$. Ça pique un peu, mais bon. Quand on sait que le salaire de base ici tourne autour de 3$/heure quand on parle déjà d'un salaire correct...
Le Parc National Manuel Antonio est très, très, très touristique. Il y a énormément de monde qui y va, et une limite de 600 visiteurs par jour a été instaurée. Il est très bien agencé, avec des sentiers bien délimités, des panneaux de temps en temps indiquant ce que l'on peut voir comme espèces d'arbres ou d'animaux, et plusieurs types de sentiers : larges, adaptés aux groupes, ou plus étroits, au milieu des arbres. Si j'ai été un peu déçue au niveau des plantes - je n'ai vu aucune fleur de près, et à peine trois ou quatre de loin -, les animaux ont bien rattrapé le coup !
Comme animaux, j'ai pu voir là bas : des singes (capucins), deux paresseux, des oiseaux (inconnus, comme d'habitude - moi, les oiseaux...), des lézards, des iguanes, des fourmis rouges super grosses et des touristes.
Rédigé à San José, la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 février 2016, à minuit
Deux canadiennes avaient mis des choses dans le frigo commun, et se sont plaintes de la disparition de leur chocolat. Nous avons appris un peu plus tard que le frigo avait été retrouvé ce matin là grand ouvert, avec de nombreuses choses au sol, et que ce ne serait pas un coup d'essai pour une bande de malfaisants... ratons-laveurs !
Pour ma part, lundi je me suis promenée un peu dans le village et le long de la plage, car le parc national ferme les lundis. En me baladant près du parc, je me suis arrêtée un instant à l'ombre. Comme il n'y avait personne aux alentours, j'ai pensé pouvoir poser sans craintes mon sac au sol et mes lunettes de soleil posées par dessus, pendant que je cherchais mes lunettes normales. C'était sans compter sur l'arrivée d'un petit voleur poilu, qui s'est emparé de mes lunettes avant que je m'en rende compte, et s'est enfui avec, à l'intérieur du parc fermé!
Mon coupable est un capucin. Ils sont connus pour être très malins et chapardeurs.
Bon... mieux vaut en rire qu'en pleurer, car même si ce sont des lunettes de vue -donc chères - je me dis qu'il y a au moins un singe fashion-victim dans ce parc !
J'ai rencontré ici une Argentine très sympa, Pamela, et nous sommes allées regarder le coucher de soleil sur la plage ensemble. Pamela est très douée de ses mains, et elle a tout un sac de petits bijoux - colliers et bracelets en tissus et métal - qu'elle a fabriqués elle-même pour tenter de les vendre sur la plage. Constatant qu'elle n'avait pas le profil d'une vendeuse ambulante, elle n'a essayé ça qu'une seule fois. Elle m'a offert un bracelet, qui est techniquement le premier "souvenir" physique que je garde de ce voyage :)
Enfin, mardi, j'ai pu aller au parc national. Comme la plupart des activités touristiques du pays, il y a le prix du résident et le prix du touriste. Un tico payera 1600 colones ( environ 3€) et l'étranger... 16$. Ça pique un peu, mais bon. Quand on sait que le salaire de base ici tourne autour de 3$/heure quand on parle déjà d'un salaire correct...
Le Parc National Manuel Antonio est très, très, très touristique. Il y a énormément de monde qui y va, et une limite de 600 visiteurs par jour a été instaurée. Il est très bien agencé, avec des sentiers bien délimités, des panneaux de temps en temps indiquant ce que l'on peut voir comme espèces d'arbres ou d'animaux, et plusieurs types de sentiers : larges, adaptés aux groupes, ou plus étroits, au milieu des arbres. Si j'ai été un peu déçue au niveau des plantes - je n'ai vu aucune fleur de près, et à peine trois ou quatre de loin -, les animaux ont bien rattrapé le coup !
Comme animaux, j'ai pu voir là bas : des singes (capucins), deux paresseux, des oiseaux (inconnus, comme d'habitude - moi, les oiseaux...), des lézards, des iguanes, des fourmis rouges super grosses et des touristes.
Après avoir volé un paquet de cookies (quand je vous dis qu'ils sont voleurs !), ce filou l'a ouvert en quelques secondes et a mangé le cookie, tranquillement sur son arbre |
Son copain en bas a dû se contenter du paquet vide. Dommage bro ! |
Un paresseux |
Rédigé à San José, la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 février 2016, à minuit
Manuel Antonio - test d'auberges de jeunesses
Commençant à rêver de chaleur dans le froid d'Orosi - je ne suis pas partie de France pour me geler chaque soir en gilet / écharpe - j'ai décidé daller passer quelques jours sur la côte avant de rejoindre San José le 25. Comme quelqu'un m'a conseillé le parc national Manuel Antonio, c'est vers là que je me suis dirigée.
Le trajet est très simple pour aller à Manuel Antonio : depuis San José, un bus direct de 4h pour environ 9€. Il y a environ un bus toutes les heures, il faut forcément acheter son billet à l'une des deux gares routières du trajet (San José ou Quepos), et les bagages sont mis en soute avec un numéro attribué à chacun pour limiter les risques de vol. Honnêtement, c'est plutôt bien organisé, le bus est (relativement) confortable : chacun a sa place assise, et la clim est présente... enfin, on ouvre les fenêtres ! Tout le moins prend ce bus, les ticos comme les touristes.
J'avais décidé de tenter l'auberge de jeunesse le Costa Linda Backpackers Paradise, 12$/nuit la chamgre privée, plutôt bien notée par le Lonely Planet bien qu'avec quelques réserves. Quelle erreur ! J'aurais dû fait plus confiance aux avis en ligne. Si le prix est bas, l'accueil très agréable et la cuisine du restaurant excellente, c'est vraiment tout ce que j'ai à dire de positif. Pour le reste :
Le trajet est très simple pour aller à Manuel Antonio : depuis San José, un bus direct de 4h pour environ 9€. Il y a environ un bus toutes les heures, il faut forcément acheter son billet à l'une des deux gares routières du trajet (San José ou Quepos), et les bagages sont mis en soute avec un numéro attribué à chacun pour limiter les risques de vol. Honnêtement, c'est plutôt bien organisé, le bus est (relativement) confortable : chacun a sa place assise, et la clim est présente... enfin, on ouvre les fenêtres ! Tout le moins prend ce bus, les ticos comme les touristes.
J'avais décidé de tenter l'auberge de jeunesse le Costa Linda Backpackers Paradise, 12$/nuit la chamgre privée, plutôt bien notée par le Lonely Planet bien qu'avec quelques réserves. Quelle erreur ! J'aurais dû fait plus confiance aux avis en ligne. Si le prix est bas, l'accueil très agréable et la cuisine du restaurant excellente, c'est vraiment tout ce que j'ai à dire de positif. Pour le reste :
- Le sol de la chambre était sale, ce qui m'a fait remettre en question la propreté du reste, comme par exemple des draps. Quand on n'est pas capable de laver correctement par terre - et pourtant, je suis loin d'être maniaque - les draps sont ils changés ? Lavés ?
- La poignée de la porte ne m'inspire aucune confiance. Laisser mes affaires dans la chambre fermée à clef ne me rassure pas le moins du monde, avec une poignéequi donne l'impression de tenir par intervention divine.
- La musique - arrêtée à 22h, c'est correct - m'a donné l'impression d'être au dessus d'une discothèque. Tant pis pour les couche-tôt /lève -tôt
- Les toilettes sont pourvus d'une porte battante d'un mètre cinquante... Et c'est tout. Pas de poignée, de loquet, rien pour fermer. Douce intimité.
- Les douches semblaient correctes quand je suis arrivée, mais dégageaient une telle odeur à 18h qu'elles repousseraient les plus téméraires. Là encore, des portes battantes d'un mètre cinquante. "Salut, t'es grand tu sais ? Et sinon, tu regardes ailleurs? ".
- Une auberge de jeunesse sans cuisine, ce qui revient à manger au resto ou ne pas manger. Avec des premiers prix dans tout le village à 10€ le plat, ça fait vite grimper la facture
- Et enfin, l'odeur de graisse de friture à 6h30 m'a complètement achevée.
Je suis partie de là à 7h tapante, pressée d'aller rejoindre un autre "backpackers hostel" repéré la veille, pressée de prendre une douche et de me faire un petit dej' tranquille. Et là, c'était litteralement le jour et la nuit : Le Faro hostel (partie "backpackers" de l'hôtel avec vue sur mer El Faro) n'est pas indiqué dans le Lonely, propose des chambres à environ 40$/nuit (je crois) et des lits en dortoir à 14$/nuit. Il y avait :
- Des douches propres. Hallelujah ! Bon, ici l'eau est froide, alors c'est un peu rude le matin au reveil, mais l'après-midi par 35-40 degrés c'est tout à fait appréciable!
- Un dortoir mixte vide - c'est à dire une chambre presque privée pour moi pendant deux nuits. Cool ! Pendant ce temps là, le dortoir exclusivement féminin était plein...
- Des casiers dans les dortoirs, pour pouvoir laisser ses affaires l'esprit à peu près libre.
- Une cuisine commune avec un grand frigo
- Une piscine et des transats ! Et une eau si chaude... on pouvait s'y baigner à 20h avec la sensation d'entrer dans un bain tiède. Un vrai bonheur
- Deux iguanes baladeurs
- Une population de singes hurleurs très bruyants mais trop bien cachés pour que je puisse les voir
- Une biche de passage ! L'endroit étant tout ouvert...
Bref... Franchement, le choix est très vite fait quand on connaît ces deux options là. J'en viens à avoir de sérieux doutes quant à l'impartialité de mon guide, quand je vois que le Faro n'est même pas mentionné.
Rédigé avec un peu de retard, le mercredi 24 février à 23h30
Rédigé avec un peu de retard, le mercredi 24 février à 23h30
mardi 23 février 2016
Premier bilan - après deux semaines
La pensée qui m'a traversé l'esprit ce matin, quand j'étais au parc Manuel Antonio, à lutter contre la chaleur humide et le manque d'air est que... Ce voyage, tel que je le fais, seule en sac à dos, est probablement la meilleure décision que j'ai prise dans toute ma vie.
Je rencontre tellement de gens ici ; je vois de nouveaux horizons, de nouvelles plantes, de nouveaux animaux ; je parle espagnol, anglais, français, allemand (mal), et même italien (merci Giulio!) ; je prends le bus, je loupe le bus, je cherche le bus ; j'apprend à situer le Minnesota sur une carte et l'état du marché immobilier de Detroit, après avoir passé une soirée à parler de la situation du Salvador.
Ce voyage est la meilleure chose que j'aie faite dans ma vie jusqu'à présent, et j'aurais vraiment été folle de ne pas le faire.
Ah oui, par moments, c'est pas drôle. Le bus qui me snobe parce que je suis à 10m de son "arrêt" (immatériel soit dit en passant), franchement, ça ne m'a pas fait rire. La chambre miteuse et les sanitaires puants du Costa Linda à Manuel Antonio non plus. Et le vol de mes lunettes de soleil (à ma vue) par un petit poilu, ça me fait rire mais ça va quand même beaucoup m'embêter au passage.
Mais pour rien au monde je ne reviendrais sur mon choix, sur les choix qui m'ont menée à cette expérience.
Rédigé à Manuel Antonio, le mardi 23 février 2016 à 13h
Je rencontre tellement de gens ici ; je vois de nouveaux horizons, de nouvelles plantes, de nouveaux animaux ; je parle espagnol, anglais, français, allemand (mal), et même italien (merci Giulio!) ; je prends le bus, je loupe le bus, je cherche le bus ; j'apprend à situer le Minnesota sur une carte et l'état du marché immobilier de Detroit, après avoir passé une soirée à parler de la situation du Salvador.
Ce voyage est la meilleure chose que j'aie faite dans ma vie jusqu'à présent, et j'aurais vraiment été folle de ne pas le faire.
Ah oui, par moments, c'est pas drôle. Le bus qui me snobe parce que je suis à 10m de son "arrêt" (immatériel soit dit en passant), franchement, ça ne m'a pas fait rire. La chambre miteuse et les sanitaires puants du Costa Linda à Manuel Antonio non plus. Et le vol de mes lunettes de soleil (à ma vue) par un petit poilu, ça me fait rire mais ça va quand même beaucoup m'embêter au passage.
Mais pour rien au monde je ne reviendrais sur mon choix, sur les choix qui m'ont menée à cette expérience.
Rédigé à Manuel Antonio, le mardi 23 février 2016 à 13h
dimanche 21 février 2016
Orosi du 17 au 20 février - balades et Parc National Tapantí
Pour mon dernier jour à Orosi, je suis enfin allée au parc national tout proche de Tapantí. Je pensaient aller plus tôt, mais finalement j'ai vu mon programme chamboulé par les rencontres que j'ai faites ici, et qui m'ont permis d'aller faire d'autres choses, et par le mauvais temps d'hier...
Mercredi : Après la bonne marche de mardi, je n'avais pas le coeur à aller au parc national, que je savais loin à pied. Alors après une matinée tranquille, Sandra (une allemande rencontrée ici) et moi sommes parties faire une petite balade près de l'auberge de jeunesse.
1km (aller), 275m de dénivelé. Argh.
Honnêtement, certains passages de ce chemin étaient si pentus qu'ils en devenaient glissants en descente. Et dire qu'il y a des maisons là haut ! L'homme que nous avons vu passer en quad était plus malin que nous ;)
Cette balade a été l'occasion d'expérimenter un peu, à deux : les bananes roses que nous avons trouvées étaient bonnes, mais tellement pleines de pépins qu'elles étaient tout de suite beaucoup moins sympas à manger, et la... "clémentine" que nous avons mangée sur le chemin devait être une variété de citrons oranges! Bref, c'était assez spécial, mais très drôle comme moment !
Les nids des oropendolas |
Oropendola |
Jeudi : Avec Yvonne, Pierre et leur petite fille Lotte, une famille allemande, nous avons tenté d'aller voir le volcan Irazu (comment ça, je m'invite dans la voiture d'autres touristes? Mais pas du tout!) de bonne heure le matin, afin d'arriver avant les nuages. Le volcan est à 35 km, ce qui nous fait une heure de route.
Manque de chance, on n'y voyait pas à 10 mètres. Le gardien de l'entrée du parc nous a déconseillé de payer l'entrée car nous ne verrions rien...
Bon, pour les volcans j'ai la poisse on dirait.
Du coup, après 2-3 heures passées à Cartago (on n'avait quand même pas fait une heure de route pour rien!), nous sommes rentrés à l'auberge sous la pluie.
Vendredi : De la pluie, de la pluie, de la pluie. Une courte balade où j'ai vu un petit oiseau noir et rouge vif, et un écureuil qui avait l'air presque orange. Je n'ai pas eu le temps de les prendre en photo, mais ce n'est pas grave.
Samedi : Visite du Parc National Tapantí, enfin ! Jai découvert à mes dépends que l'entrée du parc était bien à 5km de l'arrêt de bus de Purisil, mais que les bus s'arrêtaient pour la plupart bieeeeeen avant ça, environ 3km avant. Dommage. Il fait très chaud en général le matin ici, et ce matin ne fait pas exception !
J'arrive enfin au Parc National, qui est pourvu de 3 sentiers et d'une montée pour parvenir à un point de vue en hauteur. Je n'ai fait que deux des trois sentiers, car le dernier était "pour randonneurs aguerris" et bon, on ne va pas se mentir... Je n'entre pas dans cette catégorie là, et de loin. En plus j'avais déjà bien marché avant !
J'ai vu assez peu d'animaux ici, mais bon je m'en doutais un peu après avoir lu des avis sur Internet. J'ai vu :
- des oiseaux (je ne suis pas assez rapide pour les prendre en photo, et visiblement quand je le suis, je ne suis pas douée ! Il y a un oiseau sur la photo ci-dessous, promis)
- des papillons, dont le magnifique grand papillon bleu très connu ici. En fait, celui là était si beau que j'en ai oublié de sortir l'appareil photo, alors je vous mets une photo trouvée sur Internet, avant mes propres photos :
- des plantes. Des tas de plantes. À un moment, je crois que j'ai dû mettre vingt bonnes minutes à faire 100 mètres, à force de m'arrêter tous les 5 mètres ! Quelques photos, dont certaines ont été prises
au péril de ma viedans des positions instables :
Et sinon, quelques photos du parc, plus générales :
Arrivée de nuages menaçants aux alentours de 13h |
L'un des nombreux messages très catholiques présents dans les bus du coin |
Oui, ça m'a fait rire Oui, j'assume, j'ai un humour pourri |
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